Petit jeu sur le thème poissons

La faune étique ou pas !
Drôle de milieu, drôle de famille ! D’abord y avait la mère, Lucienne, une vieille peau de vache, maigre comme un clou, pas jojo à regarder, puis le père, chenu, tout courbé, rouge et mal rasé.
Que des filles, ils avaient !
L’ainée, Malou, était revenue chez ses parents après une brève escapade avec un Marocain. Cela n’avait pas duré, elle n’avait gardé comme souvenirs qu’une broche et un pendentif incongru en forme de sabre berbère, minutieusement choisi dans un souk.
La deuxième tenait de sa mère mais elle était pire, Anna ! Elle haussait le ton à la moindre contrariété et son mari, un grand gaillard, beau, droit dans ses bottes, en avait vite eu marre de ses sautes d’humeur. Elle aussi avait dû descendre de son piédestal et retourner vivre chez ses vieux.
La troisième, d’un tout autre acabit, Yolande, c’était la chouchoute. Elle passait son temps à se balader dans le village, fière de montrer sa Vespa, don de sa grand-mère qui ne jurait que par elle.
Enfin, la petite dernière, Julienne : Toujours rivée à sa tablette, elle se réfugiait dans un arbre où elle restait perchée des heures, histoire de fuir l’atmosphère familiale.
- Vivement mes dix-huit ans, pensait-elle, que je me barre. A la mer ou à la montagne, je m’en fiche, mais ailleurs !
Comme pour le thème cuisine, vous pouvez chercher combien de noms de poissons sont reconnaissables dans ce texte. Nombre à indiquer ci-dessous, en espérant que tout soit clair cette fois !
Drôle de milieu, drôle de famille ! D’abord y avait la mère, Lucienne, une vieille peau de vache, maigre comme un clou, pas jojo à regarder, puis le père, chenu, tout courbé, rouge et mal rasé.
Que des filles, ils avaient !
L’ainée, Malou, était revenue chez ses parents après une brève escapade avec un Marocain. Cela n’avait pas duré, elle n’avait gardé comme souvenirs qu’une broche et un pendentif incongru en forme de sabre berbère, minutieusement choisi dans un souk.
La deuxième tenait de sa mère mais elle était pire, Anna ! Elle haussait le ton à la moindre contrariété et son mari, un grand gaillard, beau, droit dans ses bottes, en avait vite eu marre de ses sautes d’humeur. Elle aussi avait dû descendre de son piédestal et retourner vivre chez ses vieux.
La troisième, d’un tout autre acabit, Yolande, c’était la chouchoute. Elle passait son temps à se balader dans le village, fière de montrer sa Vespa, don de sa grand-mère qui ne jurait que par elle.
Enfin, la petite dernière, Julienne : Toujours rivée à sa tablette, elle se réfugiait dans un arbre où elle restait perchée des heures, histoire de fuir l’atmosphère familiale.
- Vivement mes dix-huit ans, pensait-elle, que je me barre. A la mer ou à la montagne, je m’en fiche, mais ailleurs !
Comme pour le thème cuisine, vous pouvez chercher combien de noms de poissons sont reconnaissables dans ce texte. Nombre à indiquer ci-dessous, en espérant que tout soit clair cette fois !
